Scènes de genre avec Alain BERTRAND

Alain BERTRAND est un peintre et un illustrateur français qui a grandi dans l'après guerre, non loin d'une base américaine stationnée du côté d'Evreux. Le rêve américain à portée de son regard d'enfant, il en restera à jamais orphelin et nostalgique.
Des instantanés d'un temps révolu à jamais, un voyage arrêté...

Pas de motos, pas de HD, mais elles pourraient en être... et cela revient au même !

Cool ... encore une part de rêve.

Superbe le monochrome !..

un moment pris dans l'intant, rien a dire........

enfin si ............. encore

je regarde tous les ans à Rétromobile les tableaux de Alain BERTRAND, c'est vrai que c'est un sacré gaillard..........

Toutes les oeuvres d'Alain Bertrand présentées ici, du post précédent aux suivants, sont des peintures à l'huile...

Encore un super travail sur la lumière et les reflets ...

Ca ressemble à des phtos ... mais c'est bien mieux que des photos.

Et quelle ambiance, quel charme se dégagent de ces images.

J'adore !

Obéron a écrit:Toutes les oeuvres d'Alain Bertrand présentées ici, du post précédent aux suivants, sont des peintures à l'huile...

Soit attentif, on dirait qu'il y a de la musique. Tends l'oreille et ça pourrait etre un truc comme ça...
https://www.youtube.com/watch?v=9YruhGhRKKY

Génial OSCAR !!!

Regarder l'image et avoir la musique en fond ... c'est vraiment le pieds !

Ambiance, ambiance

Je ne pouvais rêver meilleure illustration sonore que Billie...
Merci Oscar

Waow doué le mec !!!!

Incroyable ... le même métro qu'à Paris !

Chouettes, les reflets sur les trottoirs mouillés.

@ Obéron
impressionnant de realité et c'est vraiment beau !!!


@ oscar

merçi pour la musique !!!!

bel effet avec les raies de lumiere!....

raies de lumiere par temps sec.
Reflet par temps de pluie.
j'ai bon ?

Chouette !

Beau travail de lumiere je pense qu'il nous montre "constitution"

nous voilà dans le bouillon de vie de Broadway Av, les années 50.
Voilà les trois choses que je retiens de cette image quand je la ferme:

1) des visages anonymes, SAUF cette femme qui sort (ou entre) de la voiture)
jeune, trench coat serré à la taille, belle sans éprouver le besoin de le montrer (contrairement aux Jane Mansfield de l'époque), le matin elle déjeune dun yaourt nature.

2) Ensuite, je vois cette voiture, l'air pensif, qui reflète sa réalité à elle, qui reflète le ciel de jour en pleine nuit, (et qui est un peu amoureuse de la jeune femme sans vouloir l'avouer)

3) ensuite, il reste le nom de James Cagey à l'affiche...

grandiose atmosphère

https://servimg.com/view/10025657/284

le commentaire de dessus était relatif à la première image (qu j'esseye de reproduire)

Obéron a écrit:

cette image n'est plus descriptive, elle est invitative. Le thème de la fenêtre.
On sait qu'une fenêtre à la taille du monde. Ici le monde est un paquebot, grand, immense, Tout-Puissant.
Mais les regards de cette mère et son enfant va au delà du paquebot, vers la droite, vers un Dieu ? un père ? un rêve ?

dans l'ombre de la fenêtre il reste les vélos de la réalité, le terre-à-terre...

Jolie analyse Ingervar, fine et opportune !

Et là...


...
Dépression des années 20. C'est pas du Steinbeck mais les attitudes en disent long... Et la lumière crue du dehors nous renvoie l'image d'un monde auquel nos personnages, figés, extatiques, ne semblent plus avoir droit.

On pourrait aussi considérer l'opposition des postures et hésiter : "Les quatre loosers et le battant" ou "les quatre philosophes et le naïf" ?